12 décembre 2013
On n’est pas prêts de s’en sortir.
A midi, je regardais un reportage sur un fabricant d’accordéons. C’est le seul qui reste en France et il a de grosses difficultés. Un de ses accordéons, vendu 2.800 euros a son équivalent chinois pour 1.800 euros. Tout cela à cause des impôts et des charges sociales.
Evidemment, si on réduisait tout ça, cela ferait dans l’immédiat un manque à gagner pour l’état. Mais les gens pourraient acheter français ce qui procurerait du travail. Il en va de même pour les cigarettes, tellement taxées que les frontaliers vont les chercher à l’étranger.
Et maintenant, on fait venir des travailleurs étrangers qui reviennent moins chers aux entrepreneurs.
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