Après les attentats, les inondations, l’absence de transports, on veut nous affamer. Il y aura de la nourriture perdue. Tant pis pour ceux qui l’on produite. Le droit au travail n’existe plus. 14 % d’acharnés bloquent une entreprise alors que 86 % ont voté pour la reprise.

-Quelques centaines de personnes peuvent coûter des milliards à un pays !

-la chienlit dans toute sa splendeur !!!

-facile a des types qui font a peine 35 heures de pourrir la vie de ceux qui en font le double et qui se font matraquer pas l état et ses impots de toutes sortes
eux n ont pas la sécurite de l emploi
et quand leur entreprise coule ne partent pas avec des indemnités mais avec des dettes a payer
Certains sont tout de même d’accord avec cette pagaille. Ils n’en subissent peut-être pas les consequences :

-Il faut bloquer les banques,les grandes surfaces,les stations services et on verra si le gouvernement restera sourd!

-Merci à ces gens qui se sacrifient pour nos enfants et petits enfants...et n'oubliez pas de faire comme moi,donnez pour la cagnotte,afin qu'ils ne perdent un minimum d'argent.

Il lui a été répondu :

-fou... : j'espère que vous avez aussi donner aux salariés qui ne peuvent pas se rendre au travail à cause de ces énergumènes privilégiés, leurs salaires à la fin du mois vont être amputés des jours non travaillés sans compter que certains ont subi les grèves des transports + les inondations. Solidarité pour eux oui, les autres rien à faire.

Je suis d’accord avec ces deux commentaires :

-Actions de travailleurs privilégiés pour le maintien de leurs priviléges. Qu'importe la façon dont sera réglée la note à la fin le contribuable paiera. Droit de circulation, pré retraite avantageuse, tps de travail, un CE puissant... Et ils prennent en otage le contribuable de base. La loi Ek est un prétexte pour masquer la faiblesse de la cgt non constructive. Oui au débat non à la prise d'otage. L'arbre du pseudo combat pour les salariés masque la forêt de la préservation des privilèges.

-lor.., tout ce que vous dites est le ressenti de la majorité des travailleurs du secteur privé, qui n'ont qu'une seule alternative, bosser pour leur assurer la pérennité de leurs avantages.